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 Chapitre II : Douce nuit (Ardheron Bav) - 16ans s'abstenir

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bavmorda

bavmorda


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Chapitre II : Douce nuit (Ardheron Bav) - 16ans s'abstenir Empty
MessageSujet: Chapitre II : Douce nuit (Ardheron Bav) - 16ans s'abstenir   Chapitre II : Douce nuit (Ardheron Bav) - 16ans s'abstenir EmptyMer 12 Juil - 13:08

Tout ne semblait être qu'une illusion, une illusion qui pourrait s'éteindre si vite, comme elle pourrait s'enflammer de plus en plus...

Les corps de plus en plus serrés laissaient présager l'issue de cet ébat.
Les soupirs qu'elle poussait ne le laissaient pas indifférent et ne faisait que l'assurer de sa démarche.

Tout en l'embrassant, sa main glissa sur ses jambes nouveau, dessinant leur contour avant de poursuivre sa course effrénée vers le jardin des désirs. Ses doigts de sorcier vinrent alors heurter le point sensible avec grâce et légèreté...
Il devenait presque tremblant d'excitation...


Alors que ses doigts glissaient langoureusement sur le joyau de son intimité, un courant électrique la parcourut, remontant dans ses reins et lui tirant un gémissant essoufflé. Comme si son corps savait d'instinct comment réagir, ses mains parcouraient le torse du sorcier et descendaient lentement vers sa taille pour briser le rempart de tissu qui se dressait encore entre eux.

La raison n'avait plus lieu d'être, retrouverait elle sa forme originelle, en cet instant cela n'avait plus d'importance. Ses doigts effilés dénouèrent les liens de sa fine cuirasse de cuir, dévoilant sa peau. Elle mordillait sa peau du bout des lèvres, caressant son corps d'une main et dégrafant sa ceinture de cuir de l'autre.

Comme guidée par un instinct primaire qu'elle ne se connaissait pas elle glissa sa main sous la toile pour explorer ce que ses yeux ne lui avait jamais montré tout en se désaltérant du goût excitant de sa peau.


Il était maintenant trop tard pour faire marche arrière, il n'en avait plus la force, ni l'envie, il voulait se perdre en elle, dans son cœur et dans son cœur, l'espace de quelques heures... et plus peut être

Les mains de la belle faisaient bouillir son sang et accéléraient son mouvement dans tout son corps. Son corps entier se tendait, les mordillements presque félin de la magnifique tigresse faisait monter de plus en plus son désir de la combler...

Il retira doucement sa main de cet Eden, ce paradis vierge. Il se rabaissa à son niveau et fit descendre ses lèvres de la bouche au goût fruité de Bavmorda, défilant sur tout son corps pour arriver jusqu'au berceau de vie, dans la chaleur et sur cette perle de plaisir...





Il s'était soustrait à ses caresses, semblant vouloir la guider dans cette découverte du corps humain. Elle l'observa parcourir son corps d'un air intriguée et fut un peu gênée de comprendre ses intentions.

Sa gène s'envola alors qu'elle ressentait ce contact subtil, la chaleur qui parcourait son corps et les gémissements qui enflaient dans gorge.
Elle réalisait qu'il la guiderait sur cette terre inconnue du plaisir que ce corps pouvait ressentir.

Les sensations qui parcouraient tout son corps s'amplifiaient, elle ignorait où cela la mènerait. Elle tentait de contrôler ces vagues déferlantes. Non, pas comme ça, cela ne devait pas se terminer de cette façon. Elle voulait connaître ce plaisir mais elle voulait le faire en tenant cet homme dans ses bras.


Ardheron...

Elle dit son nom sur un ton mêlé de plaisir et d'angoisse

Ardheron...hmmmm non pas comme ça..... Elle murmurait à présent, elle pressentait l'explosion dans ses reins mais s'y refusait


Ressentant l'angoisse grandissante devant l'inconnu de la jeune femme, il prit sur lui de la rassurer, saisissant ses deux mains et posant sa tête tranquillement sur son ventre, comme pour écouter son intérieur frémir. Il n'avait jamais vraiment connu l'embarras d'une femme... il souffla ces quelques mots

ne crains rien...

[i]Il embrassa son ventre et devant la tension de son membre, il s'engouffra en elle lentement, pour ne pas la brusquer, il savait maintenant la fragilité de cette beauté, son innocence...

Les corps se mêlèrent l'un dans l'autre, les souffles des deux visages rapprochés n'en étaient plus qu'un, leurs peaux collées semblaient presque se fondre l'une dans l'autre malgré ses va et vient.
Deux êtres qui n'en formaient plus qu'un seul et unique...

Il lui donnerait tout son corps et son âme dans cette union, pourvu qu'elle dure une éternité.
Il accéléra la cadence tout en gardant une sorte de douceur, jusqu'à ce qu'il la sente prête et réellement à l'aise dans ce nouveau corps et ces nouvelles sensations...


La faible douleur de son intrusion se dissipa rapidement, laissant place à des vagues de plaisir croissantes. Elle le sentait si proche désormais qu'elle pouvait presque ressentir son âme.

Comme toute pensée disparaissait de son esprit, elle put se détendre complètement. Alors le jeune sorcier bascula, amenant la jeune femme avec lui. Qui l'aurait cru, une centaure chevauchant un humain.
Il reprit lentement son ondulation, baigné des soupirs de la belle.

Chapitre II : Douce nuit (Ardheron Bav) - 16ans s'abstenir 131071563ah
Elle ressentait chaque impulsion au fond d'elle, et les vagues de plaisir ne tardèrent pas à la submerger. Elle s'accrocha à son torse, égratignant sa peau. Son corps se contracta et son soupir se transforma en cri. Le jeune homme lui sourit comme satisfait qu'elle ait pu se libérer de sa crainte et reprit son ondulation, bien décidé à l'amener aux limites de l'extase.


Les vagues ondulantes devinrent torrents et ébranlèrent le chaudron en ébullition.
Le rythme se soutint et devint plus fort, leurs bassins se choquèrent à chaque infiltration au plus profond de l'antre de la belle.

Sa virilité prit le dessus au son des gémissements, cris et soupirs mêlés répétés de la jeune femme. Il la rallongea d'un coup, il sentait monter l'excitation mais n'avait qu'à l'idée d'emmener cette enivrante créature là où personne ne l'emmènerait plus jamais.
Il saisit ses jambes et les joignit à la verticale avant de les embrasser de toutes parts, puis reprit dans le même mouvement son va et vient ravageur.

La jeune femme dans toute sa retenue, ne semblait pas vouloir céder si facilement aux élans de plus en plus sauvages du sorcier.
Il ne lâcherait pas prise non plus... Les jambes de Bavmorda s'écartèrent peu à peu et les regards se croisèrent. Des gouttes de sueur perlaient sur le front du sorcier...
Tout cela accentuait la folie de ces instants



Comme il se penchait sur elle, elle s'accrocha à son regard. Elle enroula ses jambes autour de ses hanches, accompagnant son corps dans ses mouvements et attrapant parfois sa bouche du bout des lèvres.
Elle ressentait sa tension, elle posa ses mains sur son cou et plongea dans son regard, percevant l'étincelle tremblante qui se transformerait bientôt en éclat opalin.


Le contact était de plus en plus franc, et les jambes de la belle se resserraient de plus en plus autour de lui, une constriction qui ne faisait qu'amplifier ses désirs...

Il mettait toute son attention à sonder chaque recoin du corps de sa partenaire, effleurant chaque point sensible avec force et tact à la fois.
Il sentit que la déferlante viendrait bientôt pour elle et pour lui.

Il posa une main sur le bas de son bassin comme pour intensifier la symbiose des deux êtres... il laissa échapper un soupir et contenait tout son plaisir afin que celui n'en devienne que plus intense...

Il agrippa à son tour le cou de la belle de derrière et la retourna sur le ventre.
Elle se mit dans une position chevaline leur permettant de s'élancer dans une ivresse des plus forte...
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bavmorda

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MessageSujet: Re: Chapitre II : Douce nuit (Ardheron Bav) - 16ans s'abstenir   Chapitre II : Douce nuit (Ardheron Bav) - 16ans s'abstenir EmptyMer 12 Juil - 13:09

La chaleur qui l'envahissait devenait presque insoutenable. Son dos se cambrait à l'extrême pour accentuer cette sensation. Comme il glissait ses mains sous son ventre, elle se redressa, collant son dos au torse musclé du jeune sorcier. Comme elle se laissait lentement envahir à nouveau par cette sensation de plénitude, elle respirait son souffle, collée contre sa joue et s'abandonnait dans la ferme étreinte de ses bras.
Ce moment pourrait il durer d'avantage, elle comprit à la tension de ses bras qu'enfin il scellerait leur union. Sa tête bascula en arrière, reposant sur l'épaule de son amant, et elle s'agrippa à son étreinte pour savourer leur extase mutuelle.



A l'approche de son extase, le corps entier du sorcier devint crispé. Il ralentit son mouvement le radoucissant à nouveau, caressant le dos de la belle et profitant de sa peau qui ne serait ce qu'au toucher en devenait presque aphrodisiaque.
Jusqu'à l'instant où il ne put plus se contenir, il agrippa vivement les épaules de Bavmorda. Il finit par faire déferler une vague de plaisir intense entre leurs corps dans un immense soupir de délivrance.
Il se retira puis s'allongea aux côtés de la belle, encore quelque peu essoufflé par ces instants d'euphorie...

Il la regarda, elle était plus belle que jamais, mais au fur et à mesure que le soleil se levait, il se doutait bien que cela ne pourrait durer, elle finirait par retrouver sa forme originelle et si dans son cœur rien ne bougerait, tout serait plus compliqué après.
Mais il préférait vivre ce moment comme il venait. Il l'embrassa sur le front puis fit glisser ses lèvres sur les siennes.
La belle s'assoupissait et il continuerait de l'admirer encore...



Détendue et heureuse, elle se glissait lascivement dans ses bras. Entrouvrant les yeux pour le regarder, elle aperçut au dessus du lit une étagère. Se redressant légèrement elle en tira un livre et après l'avoir examiné elle lui montra la couverture.[/i]

Je crois bien que c'est ce que tu cherchais.

Le visage du sorcier s'illumina un instant et comme il tendait la main pour lui prendre le livre, elle l'éloigna et le déposa sur le sol près du lit.

On verra ça plus tard, je veux encore profiter de tes bras.

Elle se rallongea contre lui et l'embrassa tendrement. Comme leurs corps humides commençaient à ressentir la fraîcheur de la matinée, elle tira la couverture sur eux et entoura le jeune sorcier de ses bras. Elle posa sa tête sur son épaule et resta silencieuse à profiter de la chaleur de sa peau.



Il aurait voulu pouvoir lire le livre, mais d'un sens, il ne désirait pas au fond de lui, redonner à Bavmorda son corps de centaure.
Il oublia le livre et colla sa tête contre la sienne. Il passa une main dans ses longs et soyeux cheveux, l'air quelque peu songeur.
Dans son cœur un sentiment de bonheur mêlé de peur naissait. Il ne pourrait probablement pas dormir, alors il se promit de veiller sur elle, ici et toujours.
Il détacha le médaillon; doré et sculpté de symboles étrangers à la belle, qu'il portait autour du cou, passa une main sous la couverture pour venir le déposer sur sa poitrine réchauffée


Gardes ça avec toi toujours, et lorsque tu te sentiras seule, et que je ne pourrais me trouver à tes côtés...

Elle regarda le médaillon un instant, il semblait dégager une aura étrange, mais le jeune sorcier n'en dit pas plus et la pris dans ses bras

Reposes toi un peu maintenant

Alors qu'elle commençait à s'assoupir, il sentit chez elle quelques tremblements, l'atmosphère de la petite baraque devenait de plus en plus frais. Il se leva doucement pour ne pas la brusquer et s'approcha de la cheminée, tout en jetant un oeil sur la belle qui s'étendait gracieusement dans le lit.
Il enflamma le bout de son doigt d'une fine flamme qu'il envoya sur les vieilles bûches humides qui trônaient en reines dans l'enceinte de pierres noircies par les flammes du temps.
En se retournant, il aperçut le livre qu'elle avait déposé par terre de son coté. Il fixa l'amas de pages et fit mouvement jusqu'à le saisir.
Regardant les flammes d'un air décidé, jeta le bouquin qui s'embrasa aussitôt...Il se murmura à lui même


ça ne dépend pas de ça, ça n'a jamais dépendu d'une masse de papier...

Il baissa la tête, cherchant au fond de lui même la solution... à contre cœur, pour rendre Bavmorda à son apparence de centaure...



La belle s'éveilla, combien avait elle dormi? Quelques minutes, quelques heures?
Ardheron n'était pas à côté d'elle, elle le chercha du regard et le vit l'air prostré à observer un feu mourant. Elle se leva et enfila les vêtements qu'il lui avait apporté, tenant le médaillon dans sa main.
Elle commençait à s'habituer à ses jambes et ne titubait quasiment plus. Elle s'approcha, se plaçant à côté de lui, elle observa à son tour les braises. Elle aperçut un petit bout de cuir roussi, une étrange sensation lui parcourut l'échine. Elle tourna la tête et découvrit l'endroit où le livre était posé. Vide.


Qu'as tu fait? Pourquoi?

La stupeur desserra ses mains et le médaillon chuta sur le plancher dans un bruit mat tandis qu'une fine larme s'échappait de son regard terrifié. Elle agrippa ses épaules, le secouant.

C'était donc ça, tu ne pouvais pas m'accepter comme je suis.

Elle le lâcha et couvrit sa bouche de ses main pour étouffer un sanglot. Puis s'enfuit, passant la porte et courant en direction du bois. Même la douleur des pierres sous ses pieds n'apaisait pas sa peine. Elle trébuchait souvent et en arrivant à l'orée du bois ses pieds heurtèrent une souche et elle roula dans un buisson. Incapable d'aller plus loin à cet instant, elle enroula ses bras autour de ces jambes, objets de son tourment désormais, et pleura. Elle ne trouvait rien d'autre à faire tant elle se sentait trahie.


Ardheron tenta de retenir la jeune femme s'échappant


Attends!!

Il lui fallut un temps pour comprendre qu'elle ne reviendrait pas. Révolté par sa propre attitude, il passa un pantalon de cuir tressé et se lança à la poursuite de la belle.

A son arrivée dans les bois, sa seule obsession était de retrouver Bavmorda, pourtant aucun mot ne sortit de sa bouche, comme si il préférait se maudire de ce qu'il venait de faire subir à la belle.

Lorsqu'il entendit les pleurs, il se rua derrière le buisson, glissant à genoux près d'elle et constatant l'état déplorable dans lequel elle s'était mis. Il se mit à sangloter à son tour, le cœur affaibli par l'amour qu'il portait à cette personne, quelle que fut son apparence. N'osant presque pas poser les mains sur elle, il se décida à la prendre dans ses bras.
Elle était toujours recroquevillée sur elle même et il semblait tenir une enfant fragile.


Dans quel état t'es tu mis... qu'ai je fait...non

Il se pencha sur son corps et pleura à son tour avec elle, à ce moment là, il aurait voulu lui dire, lui dire les choses comme il les ressentait, qu'elle soit centaure ou humaine, mais sa bouche balbutiante ne put sortir que ces quelques mots

Pardonnes moi... si tu savais seulement, ce que tu représente pour moi maintenant, je ne pensais pas... je ne pensais pas que cela arriverait un jour

Trouvant la force de s'exprimer enfin

Qui que tu sois, centaure ou humaine, différente ou pas, je ne veux pas croire que j'ai tant d'affection seulement pour une humaine qui n'en sera plus une demain. Mon cœur se porte vers la personne que tu es au fond de toi... et non seulement ton apparence... ne suis je pas différent des centaures moi aussi? Oublions cette différence, nous trouverons... je te promets
Mais crois moi, il n'y a pas de formule qui soit écrite dans un livre qui puisse te faire revenir à ta forme originelle.

Puis esquissant un petit rire au milieu de ses pleurs

C'était un livre de rudiments de base pour transformer un humain en crapaud que j'ai jeté au feu, pas pour transformer une humaine en une belle centaure...

Il la serra plus fort, les rayons du soleil faisaient étinceler les larmes qui perlaient sur sa peaux douce et délicate. Oui, qu'importait l'apparence si ce visage restait toujours aussi beau, et si la lueur qui brillait derrière ces yeux, au fond de son ame l'éblouissait toujours...


Ses paroles se déversaient au creux de son oreille, elle reprenait peu à peu son calme. Elle se serra contre lui, même si son appui sur le sol la faisait souffrir, elle avait les pieds dans un état déplorable et son mouvement lui tira une grimace. En entendant sa remarque elle rit avec lui au milieu de ses larmes. Enfin calmée, elle eut un peu honte de s'être enfuie comme ça.


En crapaud?... C'était ta prochaine étape?

Elle rit enfin plus librement

Pardonnes moi, je sais pas ce qui m'a pris, j'aurai du te faire confiance. Je crois que... que j'ai eu peur... c'est tout.

Comment lui expliquer ce qui lui avait fait peur, était ce seulement le risque de garder ce corps si fragile ou la douleur de se perdre dans un amour interdit. Comment pourraient ils s'aimer, cette question reviendrait sûrement, à chaque instant, à chaque regard, à chaque remarque des membres du clan. Etait ce possible?

Acceptons nous donc, rien n'a d'importance si tu es près de moi.

Surprise de cette phrase qu'elle venait de prononcer elle resta stupéfaite de sa propre audace, elle baissa donc la tête, enfouissant son visage au creux de l'épaule du jeune sorcier, pour cacher le trouble qui l'avait envahie.


Il déposa un baiser sur ses cheveux soyeux, se perdant quelques instants dans le léger vent qui les berçaient, sifflotant entre les arbres.
Il prit ses deux mains et dans son élan la releva...


Allons nous en, retournons à la ville, de là bas nous trouverons l'issue à tout cela.

Voyant que la belle commençait à tituber...

Laisses moi t'aider, ça ne fera que la deuxième fois que je t'aide aujourd'hui

Il sourit, et pour effacer les larmes qui avaient coulé sur son visage, il lui donna un blanc tissu. Lorsqu'elle le passa sur sa figure, une étrange sensation la prit. Il sourit de plus belle et comme promis il la saisis de nouveau dans ses bras.
Et sur ce ils prirent le chemin du retour...


Comme ils entraient dans le village, Bavmorda cacha son visage derrière ses cheveux ébouriffés et mêlés de brindilles. Elle redoutait la réaction des autres centaures face à son état.

Arrivés devant la taverne, elle quitta l'antre de ses bras.


Faut pas qu'on me voit comme ça, je vais essayer de trouver un coin où personne ... Enfin si on me cherche dis que tu sais pas.

Mais avant qu'elle est pu s'éclipser, une certaine agitation émana de la taverne, elle se blottit alors contre lui, dissimulant son visage dans la cape de sorcier de son amant.
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